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°°°Joyeux Anniversaire HIND°°°
17 septembre 2008

Un peu de cynisme subtil ....comme tu l'aimes!

Vu que tu apprecies Desproges autant que moi,  voici quelques citations pour se marrer un peu.........

- Il y a plus d’humanité dans l’œil d’un chien quand il remue la queue que dans la queue de Le Pen quand il remue son œil.

- Il faut toujours faire un choix, comme disait Himmler en quittant Auschwitz pour aller visiter la Hollande, on ne peut pas être à la fois au four et au moulin !

- Survient l’hiver. Les nouveaux cons tuent la dinde. Les nouvelles dindes se zibelinent. Les nouveaux pauvres ont faim. Les charitables épisodiques, entre deux bâfrées de confit d’oie, vont pouvoir épancher leurs élans diabétiques. Le plus célèbre des employés de Paul Lederman ouvre les « restaurants du coeur ». Des tripiers doux, des épiciers émus, de tendres charcutiers, le coeur bouffi de charité chrétienne et la goutte hyperglycémique au ras des yeux rouges, montrent leur bonté à tous les passants sur les trois chaînes.

- Attention, attention. Il n’y a pas que les nouveaux pauvres. Il y a les nouveaux riches. Pour venir en aide à mes amis nouveaux riches qui crèvent dans leur cholestérol en plein hiver à Méribel, j’ai décidé d’ouvrir les restaurants du foie. Envoyez-moi des tonnes de verveine et des quintaux de biscottes sans sel, le bon Dieu vous les rendra…

- Conseils aux centenaires : dépêchez-vous.

- Si c’est les meilleurs qui partent les premiers, que penser des éjaculateurs précoces

- Qu’est-ce que le premier janvier, sinon le jour honni entre tous où des brassés d’imbéciles joviaux se jettent sur leur téléphone pour vous rappeler l’inexorable progression de votre compte à rebours avant le départ vers le Père Lachaise…
Cet hiver, afin de m’épargner au maximum les assauts grotesques de ces enthousiasmes hypocrites, j’ai modifié légèrement le message de mon répondeur téléphonique. Au lieu de dire « Bonjour à tous», j’ai mis « Bonne année mon cul ». C’est net, c’est sobre, et ça vole suffisamment bas pour que les grossiers trouvent ça vulgaire.

- Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme.

- Attention, un suspect pour un flic ce n’est pas forcément un Arabe ou un jeune, là, par exemple, c’était un nègre.

- Il est de fait que les vieux cons, comme vous dites, sont d’anciens jeunes cons restés fidèles aux mêmes valeurs sacrées de la condition humaine qui s’accommodent aussi bien de la banane sur l’œil à 18 ans que de la casquette Ricard à 50

- Les diplômes sont faits pour les gens qui n’ont pas de talent. Vous avez du talent ? ne vous emmerdez pas à passer le bac. (…)
« Le bac, ça permet de voir du pays », disait Balavoine. Vous avez vu où ça l’a mené…

- Comme le disait le général de Gaulle peu de temps avant de couler : « la vieillesse est un naufrage ». Et nous sommes tous sur le même bateau, mes frères. Et nous voguons insouciants, jusqu’au jour où le miroir nous renvoie les premiers signes avant-coureurs de la dégradation du temps.

- Le but de l’homme moderne sur cette terre est à l’évidence de s’agiter sans réfléchir dans tous les sens, afin de pouvoir dire fièrement, à l’heure de sa mort : « Je n’ai pas perdu mon temps. »

- Les centenaires ne sont pas tous des hypocrites. Ainsi, M. Leo Ledwidge, de Portland, qui va sur ses 106 ans, a-t-il répondu à l’original qui lui demandait le secret de sa longévité : « Je cours après les filles dans les bois. C’est bon pour le cœur. »

- L’amour… il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. À partir de quoi il m’apparaît urgent de me taire.

- Dieu, hostie ou pas, est un plat qui se mange froid.

- Si on ne parlait que de ce qu’on a vu, est-ce que les curés parleraient de Dieu ? Est-ce que le pape parlerait du stérilet de ma belle-sœur ? Est-ce que Giscard parlerait des pauvres ? Est-ce que les communistes parleraient de liberté ? Est-ce que je parlerais des communistes ?

- L’Ascension : Tout Jésus plongé dans la prière reçoit une poussée de bas en haut qui le renvoie chez son papa. C’est le théorème de l’ascenseur.

- Il y a bien un truc qui m’a rendu célèbre, un peu, mais dans ma famille, surtout. C’est-à-dire que j’ai un petit talent d’imitateur. Enfin, je n’imite que les gens de ma famille, et quand on ne connaît pas les gens de ma famille, c’est pas tellement drôle.
Ah si, y a un truc assez marrant que je peux faire, je peux vous imiter mon père qui a un cancer de la gorge, si vous voulez, mais je vous préviens, en général, ça ne fait marrer que mes gosses. Si vous insistez, je vous le fais. Vous insistez ? Oui. Bon.
Alors, c’est mon père, qui a un cancer de la gorge et il parle à ma mère :
« Maman… je voudrais… des gauloises… sans filtre. »
C’est rigolo, mais c’est pas évident, d’imiter l’accent cancéreux… surtout quand on n’a pas de cancer. J’ai pas d’cancè-re, j’ai pas d’cancè-re…

- Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d’entraînement, on peut arriver à en faire des militaires.

- L’élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime : « Je pense, donc tu suis. »

- Certes, il est pénible de vieillir, mais il est important de vieillir bien, c’est-à-dire sans déranger les jeunes.

- La naïveté grotesque des enfants fait peine à voir, surtout si l’on veut bien la comparer à la maturité sereine qui caractérise les adultes. Par exemple, l’enfant croit au Père Noël. L’adulte non. L’adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote.

- Né un peu prématurément dans une usine de Wouhan, en Chine populaire, le poupon d’une ouvrière a reçu le prénom charmant de « Fleur-éclose-sur-le-coin-d’établi-grâce-aux-efforts-du-camarade-contremaître ».

- Août est vulgaire. Transparents et mous, les méduses et les banlieusards échoués s’y racornissent sur le sable dans un brouhaha glapissant de congés payés agglutinés. Août pue la frite et l’aisselle grasses. En août, le pauvre en caleçon laid, mains sur les hanches face à la mer, l’œil vide et désemparé, n’ose pas penser qu’il s’emmerde. De peur que l’omniprésence de sa femelle indélébile, de sa bouée canard grotesque et de son chien approximatif ne lui fasse douter de l’opportunité du front populaire.

- La Provence me les gonfle autant que la Bretagne profonde. La bonhomie sucrée de tout ces gros santons mous qui puent l’anis, et génocident les coccinelles à boules de pétanque dans la gueule ça m’escagasse autant le neurone à folklore que les désespérances crépusculaires de la Paimpolaise qui guette le retour improbable de son massacreur de harengs, la coiffe en bataille et la larme au groin, au pied des bittes de fer fouettées par les embruns.

- Vieux parents, vous tous qui déclinez en parasites, accrochés à vos familles, sachez vous éteindre sans bruit, comme un réfrigérateur qui cesse de trembloter quand on le débranche. En toutes circonstances, effacez-vous, gémissez doucement, claudiquez sans à-coups, emmitouflez vos vieux os, gantez vos arthrites métacarpiennes disgracieuses, étouffez vos tristes toux matinales, minimisez vos cancers, c’est une simple question de délicatesse.

- Quéquette en juin, layette en mars.

- Avant de quitter cette scène de théâtre, qui est mon lieu de travail, et où, grâce à votre chaleur et à votre amitié, j’ai la chance de pouvoir gagner ma vie honorablement, je voudrais simplement que nous ayons une pensée, une courte pensée, pour ceux de mes camarades du spectacle – je vous en prie -, je ne vous demande pas une minute de silence, je vous demande simplement une courte pensée pour ceux de mes camarades du spectacle qui n’ont actuellement aucun travail, sous prétexte qu’ils n’ont aucun talent. Merci.

- J’en ai vu, dans le show-biz, ramper de si peu dignes et si peu respectables qu’ils laissaient dans leur sillage des rires de complaisance aussi visqueux que les mucosités brillantes qu’on impute aux limaces.

- Dieu a dit : "tu aimeras ton prochain comme toi-même", c’est vrai. Mais Dieu ou pas, j’ai horreur qu’on me tutoie, et puis je préfère moi-même, c’est pas de ma faute.

- Aujourd’hui, c’est à vous que je m’adresse, chers enfants. Savez-vous, petits connards, qu’à l’âge où vous jouez aux billes comme des imbéciles, Wolfgang Amadeus Mozart, lui, avait atteint le génie ?

- Je ne suis pas raciste, mais il faut bien voir les choses en face : les enfants ne sont pas des gens comme nous. Attention. Il n’y a dans mes propos aucun mépris pour les petits enfants. Seulement, bon, ils ont leurs us et coutumes bien à eux. Ils ne s’habillent pas comme nous. Ils n’ont pas les mêmes échelles de valeurs. Ils n’aiment pas tellement le travail. Ils rient pour un oui et pour un non.

- Plus cancéreux que moi, tumeur !

- S’il n’y avait pas la science, malheureux cloportes suintants d’ingratitude aveugle et d’ignorance crasse, s’il n’y avait pas la Science, combien d’entre nous pourraient profiter de leur cancer pendant plus de cinq ans ?

- Sociologiquement lamentable, historiquement minable, géographiquement quelconque, la Provence, finalement, ne brille que par sa cuisine… Ah si ! Tout de même ! Une bonne cigale Melba, je dis pas ! Autant le chant de la cigale, qui est assez loin du cri de la Mobylette, autant le chant de la cigale peut s’avérer exaspérant, autant la chair de cette vermine est succulente.

- Le goût, enfin, que nous avons gardé pour la bonne bouche, c’est bien le moindre hommage à lui rendre, peut être considéré comme le plus distingué des cinq sens. Au reste , il fait généralement défaut chez les masses populaires où l’on n’hésite pas à se priver de caviar pour se goinfrer de topinambours ! On croit rêver ! ! C’est pourquoi je fous tout à coup des points d’exclamation partout alors que, généralement, j’évite ce genre de ponctuation facile dont le dessin bital et monocouille ne peut qu’heurter la pudeur.

- Tout au long de cette vie tumultueuse où j’ai donné la joie sur d’innombrables sommiers dont j’ai oublié le nom, j’ai compris qu’on pouvait juger de la sensualité d’une femme, ou d’un homme, bien sûr, mais ce n’est pas tellement mon truc, simplement en observant son comportement à table. Prends-en de la graine, jeune dragueur qui m’écoute. Celle-là qui chipote devant les plats nouveaux exotiques, celle-là qui met de l’eau dans le pauillac, qui grimace au-dessus des pieds de porc farcis, qui repousse les myrtilles à côté du filet de sanglier, celle-là crois-moi, n’est pas sensuelle, c’est évident! Comment voulez-vous qu’une femme qui renâcle devant une saucisse de Morteau puisse prendre ensuite quelque plaisir… avec une langue aux olives ou des noisettes de veau?

- En cas de morsure de vipère, sucez-vous le genou, ça fait marrer les écureuils.

- Le lion est un gros con lâche et couard. (…) La plupart du temps, le lion ne chasse pas lui-même. Il n’a pas que ça à faire. Il dort. Il laisse à sa femelle le soin de chasser à sa place, ou bien il se planque derrière elle pour ne pas prendre un mauvais coup de patte de gnou dans ses nobles couilles royales.

- Le xiphophore est un petit poisson de coloration variée, de six à dix centimètres de long, originaire du Mexique, très fécond, et qu’on retrouve fréquemment dans les aquariums, à condition de le mettre dedans. (…) Comme la plupart des poissons, le xiphophore affiche en permanence une expression béate. C’est parce qu’il baise dans l’eau. C’est très très bon pour la béatitude.

- Tous les animaux sont utiles à l’homme, parce qu’ils nous aiment, nous gardent et qu’on les bouffe.

- Le cochon offre de nombreux points de comparaison avec un autre mammifère sans poils passé expert dans l’art de semer la merde et de se vautrer dedans.

- "C’est complètement faux de dire que le cochon est sale, c’est le paysan qui est sale de mettre le cochon dans la merde. Au Laos, les cochons vivent dans la nature, ils dorment dans les maisons, ils ne sont pas plus sales que les Laotiens qui sont des gens très propres. Simplement, les cochons s’appellent Kiki… et les Laotiens mangent leurs chiens."

- Entre une mauvaise cuisinière et une empoisonneuse, il n’y a qu’une différence d’intention.

- J’ai envie de suggérer l’hypothèse selon laquelle la faible participation des femmes sur la scène politique serait le simple mépris qu’elles en ont.

- La culture, c’est comme l’amour. Il faut y aller par petits coups au début pour bien en jouir plus tard.

- Comment ne pas louer la sobriété de la camelle qui peut tenir soixante jours sans fumer le cameau, ou l’admirable pudeur de l’anaconda qui peut se masturber sans bouger les genoux. Non seulement parce qu’il n’a pas de genou, mais parce qu’il lui reste de l’époque où il était quadrupède, deux embryons de papattes enfermés sous la peau à la hauteur des génitoires, ce qui lui permet donc de se chatouiller à l’intérieur à l’abri des gelées matinales.

- Contrairement à Villon qui stagnait dans le ruisseau j’ai la chance d’habiter en plein Paris une maison qui donne sur un petit jardin. Quelle joie chaque matin d’ouvrir les volets pour entendre tousser les oiseaux.

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Commentaires
C
kikou<br /> et bien sensation nature, tu as égayé ma soirée<br /> je suis MDR<br /> gros bidoux ma belle<br /> ta cece
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